L’évaluation des tiers est souvent la phase la moins maîtrisée du dispositif anti-corruption mis en place par les entreprises assujetties à la loi Sapin 2.
Comme le montrent de nombreuses études et les bilans annuels de l’Agence Française Anticorruption, plusieurs freins doivent être levés dans le déploiement de l’évaluation des tiers : l’opérationnel doit disposer de la bonne data au bon moment en fonction du type de tiers ; il doit également pouvoir s’appuyer sur sa hiérarchie ou une organisation compliance transverse.
C’est véritablement si tout lui est facilité que l’utilisateur non averti sera prêt à s’investir dans l’évaluation de ses relations d’affaires
La digitalisation des processus d’évaluation répond à ces problématiques pour accompagner au mieux les utilisateurs, faciliter les due diligences et optimiser ainsi la gestion des risques.