En 2030, près d’un tiers de la population française aura plus de 60 ans, face à cet allongement de la durée de vie et au développement des maladies chroniques, quels sont les défis que l’écosystème de santé, des soins ainsi que les assureurs et institutionnels devront relever afin de garantir la pérennité du système actuel ? 

- Dans le sillage de la cinquième branche de la Sécurité Sociale, instaurée en juin dernier et dédiée à la perte d’autonomie, quelles stratégies concrètes le monde de l’assurance peut-il mettre en place afin de répondre au vieillissement de la population ? 

- Quelle est la sinistralité en santé pour les mutuelles ? 

- Quel rôle de l’assurance de protection sociale complémentaire ? 

Performance technologique, optimisation des process, amélioration de l’expérience client, etc. le numérique représente indéniablement un levier de modernisation de l’offre de soin. 

Comment l’assurance santé peut-elle trouver sa place dans un écosystème en pleine mutation ? 

- Comment l’e-santé peut-elle contribuer à la sauvegarde de l’assurance santé ? Comment les plateformes assurantielles se mettent-elles au service de la santé ? 

- Comment appliquer les solutions Digital & Smart Analytics à l’assurance santé ? Quel rôle de l’IA dans la prévention des fraudes ? Quid du rôle des insurtechs ? 

Bousculé par la crise du coronavirus, le calendrier de la révision a été décalé du 30 juin à fin décembre. Cette décision vise à « tenir compte de l’évaluation de l’impact de la crise du Covid-19 ». Si la baisse durable des taux plaide pour réaménager le cadre prudentiel, les assureurs tricolores redoutent une hausse des exigences de capital. Outre les aménagements techniques, la France plaide pour que cette révision soit l’occasion d’encourager au plan politique l’investissement de long terme, mais surtout de simplifier le fardeau du reporting qui est imposé au secteur. - Quelles évolutions des équilibres prudentiels après la crise sanitaire ? - Comment les risques de changement climatique vont-ils être intégrés dans la révision de Solvabilité II ? Quels impacts sur le pilier 2 ?

L’encours total des contrats d’assurance vie, le placement préféré des Français, c’est 79% de fonds euros et seulement 21% d’unité de compte, selon la FFA. Or, dans un contexte de taux durablement bas, les rendements sur les fonds en euros sont aooelés à rester faibles. Et la crise sanitaire a accentué cette tendance. Les CGP réclament une meilleure diversité dans les supports pour faire face à la baisse de rendement des fonds en euro, particulièrement exposés aux conséquences de la crise du coronavirus. 

- Le fonds en euros n’a-t-il plus d’avenir ? 

- L’immobilier en parts de SCPI est-il la meilleure alternative au fonds en euros ?

La pandémie de la covid-19 est un événement de sinistralité majeur pour les entreprises et leurs assureurs. La crise sanitaire et économique qui en découle met en lumière le rôle de la gestion des risques dans l’amélioration de la résilience de l’entreprise. 

- Comment assurer les conséquences d’un choc majeur susceptible d’arrêter l’activité des entreprises ? 

- Comment intégrer les pertes économiques dans les logiques classiques de mutualisation ? 

- Pourquoi faut-il inciter les entreprises – de toutes tailles – à se doter d’une gestion globale des risques placée au cœur de leur modèle opérationnel ? 

- Comment le renforcement de la capacité d’auto-assurance des entreprises, par le biais des captives, leur permet-il de mieux faire face aux chocs systémiques futurs ?